– « Guillaume, racontez-nous comment se sont déroulées les quelques semaines entre la fin des JO et votre signature avec Dunkerque mardi ?
Je suis allé dans le Beaujolais, près de Lyon chez mes beaux-parents, où je me suis entraîné avec Villefranche-sur-Soane et où j’ai travaillé la musculation. Ca n’a pas toujours été facile à vivre de ne pas savoir où je serai cette saison. J’ai été en contact avec Kiel pendant un moment. Mais ça ne s’est pas fait. Et c’est finalement avec Dunkerque que j’ai signé mardi soir pour une saison.
– Vous vouliez rentrer en France ?
J’étais ouvert à toutes les propositions. Le championnat de France est très attractif. Beaucoup d’internationaux français sont de retour en dans l’Hexagone. Ca bouge pas mal. Tout le monde s’est extrêmement renforcé. Ca ouvre de belles perspectives.
– Comment s’est déroulée ton arrivée à Dunkerque ?
Pas de choc thermique (rires) ! Quand je suis arrivé mardi, il y avait un grand ciel bleu et un beau soleil à Dunkerque. J’ai signé mardi à 17 heures. J’ai effectué la visite médicale mercredi matin. Je ferai mon premier entraînement jeudi. Je n’ai pas encore d’appartement, mais les choses vont se mettre en place petit à petit. – Quels sont désormais tes objectifs à quelques jours de l’entame de la saison ?
Le championnat va être relevé. Il y a trois clubs qui se dégagent en haut et, derrière, la lutte va être âpre pour les places européennes. On reçoit d’ailleurs Saint-Raphaël samedi soir pour le premier match qui est un concurrent direct pour les billets continentaux. C’est un beau défi qui se profile ! »