Oui, les Norvégiennes profitent d’un bilan comptable favorable. Oui, les championnes d’Europe en titre ont sorti les Coréennes il y a huit mois en quart de finale du mondial. Mais les JO sont le terrain de jeu favori des Asiatiques. Elles s’en régalent. Ne vivent que pour ça. Sacrée en 1992 à Barcelone, la Corée a depuis disputée deux finale. Toutes deux perdues face aux Danoises, triples championnes olympiques en titre. Emmenées par Seongok Oh, les joueuses de Youngchul Lim ont bien l’intention de décorcher une nouvelle couronne. Mais les Scandinaves ne manquent pas d’arguments. Et Gro Hammerseng, élue meilleure joueuse du monde il y a quelques jours, se verrait bien décrocher la timballe.
Oui, les Norvégiennes profitent d’un bilan comptable favorable. Oui, les championnes d’Europe en titre ont sorti les Coréennes il y a huit mois en quart de finale du mondial. Mais les JO sont le terrain de jeu favori des Asiatiques. Elles s’en régalent. Ne vivent que pour ça. Sacrée en 1992 à Barcelone, la Corée a depuis disputée deux finale. Toutes deux perdues face aux Danoises, triples championnes olympiques en titre. Emmenées par Seongok Oh, les joueuses de Youngchul Lim ont bien l’intention de décorcher une nouvelle couronne. Mais les Scandinaves ne manquent pas d’arguments. Et Gro Hammerseng, élue meilleure joueuse du monde il y a quelques jours, se verrait bien décrocher la timballe.