– « Nikola, vous venez de signer un contrat de quatre ans avec le club catalan, pourquoi Barcelone ?
D’abord parce c’est un des meilleurs clubs en Europe. C’est déjà une très bonne raison ! Et puis, cela faisait plusieurs années que nous étions au contact. Notament quand j’ai quitté Kiel, avant d’aller à Montpellier? C’est simplement le bon moment. Jouer sous le maillot blaugrana, c’est le rêve de nombreux sportifs. Un rêve qui devient réalité.
– Comment s’est passée la présentation officielle aujourd’hui (mercredi) ?
Super bien ! On a signé le contrat, j’ai pris les premiers contacts avec tout le monde. J’en ai profité pour visiter les structures. Et c’est un autre monde !
– Comment vous sentez-vous à l’idée de débuter cette nouvelle aventure ?
Je ressens beaucoup d’envie et d’ambition. Je voulais retrouver un club qui avait un encadrement, une équipe capable de gagner la Ligue des Champions. Je suis très excité et impatient de commencer à travailler avec le groupe.
– Vous allez aussi retrouver « Tchouf » (Cédric Sorhaindo) ?
C’est vraiment top. D’abord parce que c’est toujours agréable de retrouver un pote. Et, même s’il n’avait pas été là, j’y serais allé, c’est un plaisir. Il m’a déjà briefé sur le club, le fonctionnement, la bonne ambiance qui règne. Cela a aussi motivé mon choix.
– Vous porterez le numéro 33 sur votre futur maillot, c’est parce que dans quatre ans, au terme de votre contrat, vous aurez 33 ans ?
(Rires). Non. En vérité, il y a deux raisons. La première, c’est que quand j’étais petit, je portais le numéro 11. A Montpellier et en équipe de France, je n’ai pas vraiment eu le choix. A Kiel, le onze était déjà pris, j’ai donc choisi le 22. Et à Barcelone, le 22 était également déjà attribué, d’où le 33. Et puis, c’est aussi et surtout un hommage à mon grand ami Didier Dinart, qui a mis un terme à sa carrière sportive et qui a porté ce numéro.