DANEMARK – FRANCE : 24-16 (11-8)
Palais des Sports de Wuxi
Spectateurs : 500

DANEMARK
Gardiennes : Pedersen (60 min., 24 arrêts dt 3 pen.), Mortensen ; buteuses : Melgaard, Kviesgaard (1/1), Augustesen (3/6), Dalby (8/12), Krogshede, Lund Nielsen (1/2), Larsen, Kristensen (0/2), Jorgensen (0/2), Kristiansen (6/10 dt 4/4 pen.), Troelsen (5/13), Kastrup. Entraîneur : Jan Pytlick.

FRANCE
Gardiennes : Leynaud (30 min., 5 arrêts), Darleux (30 min, 4 arrêts) ; buteuses : Goudjo (0/1), Ayglon (1/2), Pineau (4/11 dt 0/1 pen.), Mendy (0/1), Baudouin (1/5 dt 0/1 pen.), Dembélé (2/4), Deroin (1/5 dt 1/1 pen.), Tervel (2/3), Limal (1/2), Piejos (1/1), Signaté (2/7), Fiossonangaye (0/3 dt 0/1 pen.), Leynaud (1/1). Entraîneur : Olivier Krumbholz.

Raphaëlle Tervel (capitaine): « Je ne comprends pas. On a pourtant mis un peu plus d’engagement dès l’entame de match, mais on prend l’eau face à Dalby et en attaque placée, on est incapable de se mettre dans de bonnes situations. Terminer à huit buts, ça fait vraiment mal ».

Olivier Krumbholz : « Il y a eu du mieux dans le combat défensif, le score ne reflète pas la physionomie du match mais on s’est fait laminer dans les dernières minutes. Elles sont montées en charge comme elle savent le faire quand elles dominent une équipe. Et puis, c’est vrai, on a été naïf sur Dalby. C’est aussi ça qui nous met dans le trou, en plus du fait d’avoir fait preuve d’une grande incompétence aux tirs ».

Amandine Leynaud (gardienne) : « On ne peut s’en prendre qu’à nous-même. Notamment aux tirs, le match se joue beaucoup là-dessus. On a essayé de tenir mentalement. On a réccupéré beaucoup de ballons en défense sans être capable de les mettre au fond. C’est dur de finir à huit buts. »