L’équipe de France féminine a arraché la médaille de bronze au championnat du monde IHF 2025, en battant les Pays-Bas dans une petite finale haletante (33-31 a.p.). Après un début de match compliqué, les Bleues ont retourné la vapeur avant de faire la différence en prolongations, notamment grâce à Sarah Bouktit, meilleure marqueuse de la rencontre avec neuf réalisations. Un résultat remarquable au regard du renouvellement du groupe. C’est la troisième fois de suite que les Bleues montent sur le podium d’un Mondial, après le titre de 2023 et l’argent de 2021.
Le sept de départ : Pour ce match pour la médaille de bronze, Sébastien Gardillou reconduit le même groupe de seize joueuses qui a disputé les deux dernières rencontres, Camille Depuiset, Emma Jacques et Lilou Pintat prenant place en tribunes. Le sept de départ est le suivant : Hatadou Sako – Suzanne Wajoka – Clarisse Mairot – Tamara Horacek – Lena Grandveau – Alicia Toublanc – Sarah Bouktit.
Dix premières minutes compliquées
C’est avec leur traditionnelle tenue bleue sur les épaules que les joueuses de l’équipe de France font leur entrée sur le terrain de la Ahoy Arena, dont les tribunes sont parées d’orange en l’honneur de la sélection locale. Ce sont les championnes du monde en titre qui donnent le coup d’envoi de la rencontre. Clarisse Mairot prend ses responsabilités sur la première action, mais trouve Yara ten Holte sur sa route, avant que la pivot néerlandaise ouvre la marque. Deuxième action, deuxième belle opportunité, mais cette fois-ci c’est Lena Grandveau qui bute sur la gardienne adverse. Suzanne Wajoka est punie d’un jet de sept-mètres pour une défense en zone, mais Floriane André détourne la tentative de Dione Housheer. Ce n’est que partie remise, Maarschalkerweerd trouve la faille, mais Lena Grandveau lui répond sur l’engagement rapide. Hatadou Sako réalise sa première parade face à Dulfer, mais sur une action confuse, Horacek perd le ballon et van Wetering redonne deux buts d’avance aux siennes. Et même trois, sur une nouvelle contre-attaque vingt secondes plus tard (1-4, 5′). Les Bleues sont clairement mal rentrées dans leur partie et perdent un nouveau ballon. Heureusement pour elles que Malestein trouve le poteau depuis son aile droite. Le poteau, c’est aussi ce qui empêche Clarisse Mairot de conclure le kung-fu lancé par Alicia Toublanc, donnant une nouvelle balle de +4 aux Oranje. Mais celles-ci ne la concrétise pas et, au contraire, Toublanc glisse le ballon sous les jambes de ten Holte. Les deux équipes se montrent assez maladroites, avec de nombreuses pertes de balle. Il faut toute la détermination de Wajoka pour aller chercher un pénalty que convertit Sarah Bouktit (3-5, 10′). Housheer trompe Sako avec un tir à travers avant que Mairot ne se sorte d’un mauvais pas pour aller tromper ten Holte avec l’aide du poteau. L’entrée de Fatou Karamoko stabilise la défense bleue, qui récupère des ballons mais ne les exploite pas. Après une parade de Sako face à Malestein, décidément bien maladroite, Méline Nocandy fait son entrée. C’est elle qui offre un caviar à Sarah Bouktit, qui réduit l’écart à un but. C’est encore la Guadeloupéenne qui va provoquer un pénalty, où Sarah Bouktit trouve la lucarne (6-6, 15′).
Les défenses sont à l’honneur
Après avoir encaissé trois buts de suite, les Pays-Bas prennent leur premier temps-mort de la soirée. Dans la foulée, Polman trouve sa pivot, qui lobe Hatadou Sako. Ten Holte, au contraire, s’impose face à Pauletta Foppa, qui arrive comme une balle depuis le poste d’arrière droit. Sako l’imite sur l’action suivante avec une belle parade à six mètres, Suzanne Wajoka récupère le ballon et marque dans la cage vide et tout le monde est de nouveau à égalité. Et même mieux, puisque Foppa gratte un ballon, traverse tout le terrain et va tromper ten Holte pour mettre les Bleues en tête pour la première fois de la soirée. Alors que Lucie Granier a fait son entrée sur le terrain à la place d’Alicia Toublanc, sa coéquipière en club Sarah Bouktit inscrit son quatrième but de la soirée (9-8, 20′). Après une perte de balle hollandaise, Oriane Ondono a même l’opportunité de doubler la mise mais bute sur ten Holte. C’est l’heure pour Nina Dury d’entrer sur le terrain. Mais c’est bien Hatadou Sako qui se met en valeur, d’abord en arrêtant le lob de Maarschalkerweerd, puis le tir par en-dessous de Nüsser. Mais l’attaque française n’est pas très efficace, témoin les nombreuses pertes de balle en essayant de trouver les pivots. Alors que les deux équipes patinent, Sébastien Gardillou pose son premier temps-mort, en profitant pour relancer Tamara Horacek sur le poste d’arrière droite. La capitaine lance une belle action où Méline Nocandy trouve la barre transversale (9-9, 25′). Les minutes sans but s’enchainent, cela fait bientôt sept minutes que les Bleues n’ont pas trouvé le chemin des filets. C’est Orlane Kanor, fraichement entrée en jeu, qui débloque la situation, sur un tir un peu chanceux. Sur la défense suivante, Nina Dury en met sans doute un peu trop dans son contact avec Vollebrecht et est exclue par les arbitres. Housheer en profite pour égaliser, mais Lucie Granier garde les Bleues devant depuis son aile. Et la gauchère double même la mise avec un joli chabala, offrant deux buts d’avance à la France pour la première fois du match. Polman trouve la faille à travers et le dernier tir de Marie-Hélène Sajka, tout juste arrivée sur le terrain, trouve le mur oranje (12-11, MT).
Les Pays-Bas font la course en tête…
C’est dans une ambiance digne de Tomorrowland que la seconde période reprend, alors que le seul changement par rapport au sept de départ concerne l’aide droite, où Lucie Granier prend la place d’Alicia Toublanc. Les Hollandaises égalisent immédiatement par Maarschalkerweerd, mais Pauletta Foppa, entrée en deuxième pivot, lui répond. Après un bel arrêt de Hatadou Sako à l’aile droite, les Françaises gaspillent un ballon de +2, dont profite Van Wetering pour remettre tout le monde à égalité. Lucie Granier continue sur sa lancée de la première période avec un ballon déposé au dessus de ten Holte et Horacek, d’un tir à l’amble, trouve la lucarne hollandaise. Mais Dione Housheer l’imite et les deux équipes sont toujours au coude à coude (15-14, 35′). Cap’tain Horacek tente de marquer son deuxième but de suite mais trouve la barre transversale et quand Malestein glisse le ballon sous les jambes de Sako, les deux équipes se retrouvent à égalité. Elles se rendent coup pour coup et devant le rythme proposé, Sébastien Gardillou commence les rotations. Pourtant, Horacek trouve ten Holte sur sa route et Floriane André, arrivée sur le parquet, ne peut pas empêcher Van Wetering de mettre les Pays-Bas devant. Et il s’en faut d’un passage en force pour que les Françaises se retrouvent deux longueurs derrière. C’est l’heure pour Fatou Karamoko de rentrer sur le poste d’arrière droite, au moment où Sébastien Gardillou appuie sur le bouton du temps-mort (16-17, 40′). Minute de repos sanctionnée de succès, puisque Nina Dury trouve la faille à l’aile gauche. Mais sur les deux actions suivantes, les Néerlandaises scorent. Et comme les ennuis volent en escadrille, Dury est exclue pour deux minutes après avoir tiré dans la tête de Yara ten Holte. Et en profitant de la supériorité numérique, les Hollandaises creusent encore un peu le trou. Il faut une passe improbable vers Sarah Bouktit pour provoquer un pénalty, qu’Alicia Toublanc convertit. Lucie Granier a même le ballon du -1 en contre-attaque, mais son lob va trouver la barre. Dans la foulée, Malestein remet les Bleues trois buts derrière. Méline Nocandy, revenue en jeu, va chercher un jet de sept mètres, que Sarah Bouktit marque (19-21, 45′).
…mais les Françaises finissent mieux
Alors que le dernier quart d’heure est entamé, les deux équipes peinent à trouver le chemin des filets. La fatigue, sans doute, alors que les filles jouent là leur neuvième match en deux semaines et demie. Méline Nocandy trouve tout de même Sarah Bouktit, qui inscrit son sixième but. Avec une belle parade à l’aile, Hatadou Sako offre une balle d’égalisation à ses coéquipières, mais le lob de Bouktit passe à côté. C’est finalement Suzanne Wajoka, en bout de contre-attaque, qui égalise. Alors que Sébastien Gardillou envoie Lena Grandveau en défense avancée sur Polman, les Pays-Bas prennent leur deuxième temps-mort. Polman trouve la faille et Alicia Toublanc est punie pour être passée en touche (21-22, 50′). Quand les Néerlandaises trouvent le chemin des filets, Orlane Kanor leur répond avec une puissante percée à six mètres. Les deux attaques jettent leurs dernières forces dans la bataille. Côté français, Lena Grandveau envoie une passe improbable que fait fructifier Orlane Kanor et si Sako s’impose face à Malestein, les arbitres punissent les Bleues d’un passage en force. Sako, d’un nouvel arrêt, laisse les Bleues dans la course et, à six minutes de la fin, Grandveau remet une nouvelle fois tout le monde d’aplomb à six mètres (24-24, 54′). Toutes les possessions se font lourdes, alors que les supporters des deux équipes se font entendre. Il faut, à chaque fois, un véritable exploit pour mettre le ballon dans la cage de ten Holte. Suzanne Wajoka est sanctionné d’un passage en force loufoque, Ondono est sortie pour deux minutes et Malestein remet les Pays-Bas devant avec deux minutes à jouer. Sébastien Gardillou pose son dernier temps-mort de la soirée. Le système envoie Bouktit aller chercher un pénalty et une sanction contre Malestein. Alicia Toublanc trompe ten Holte et tout le monde est raccord avec une minute à jouer. La défense française contre le dernier tir de Housheer et, sur une petite relation à deux avec Orlane Kanor, Tamara Horacek marque à six-mètres. Le dernier temps-mort néerlandais envoie Housheer marquer. L’engagement rapide ne donne rien, les deux équipes vont donc devoir jouer les prolongations (26-26, FM).
Une prolongation à sens unique
Ce sont les Hollandaises qui lancent les deux périodes de cinq minutes de prolongation. Et elles perdent le premier ballon, intercepté par Suzanne Wajoka, mais Pauletta Foppa ne fait pas mieux sur l’action suivante. C’est finalement Sarah Bouktit, à six mètres, qui marque le premier but avant que Sako, encore elle, ne force Polman à manquer la cible. C’est Bouktit, encore elle, qui donne deux buts d’avance aux Françaises, sur une offrande de Tamara Horacek. Dulfer réduit l’écart, mais Léna Grandveau est décidée. Elle trompe ten Holte, climatise l’Ahoy de Rotterdam et donne deux buts d’avance aux Bleues à la pause des prolongations (29-27, 65′). Ce sont elles qui relancent le match après le break, mais la passe de Grandveau ne trouve pas Bouktit. Pas grave, puisque Wajoka vole le ballon à Malestein pour aller conclure en contre-attaque. Pauletta Foppa va chercher un pénalty que Sarah Bouktit, encore elle, transforme. Ca commence à sentir bon pour les Bleues, avec trois buts d’avance à autant de minutes de la fin. Pourtant sur une belle combinaison avec Foppa, Grandveau rate ce qui semble être une première balle de match. Mais Foppa ne rate pas la seconde, à 1’30 du gong. Les supporters français peuvent se remettre à chanter. Même si Malestein bat Sako sur sept-mètres, les Françaises ne seront plus reprises. Lena Grandveau termine le travail d’un beau lob et peut foncer en hurlant vers le banc de touche. Les Françaises, au bout du suspens, terminent le Mondial avec la médaille de bronze (33-31 A.P.).
Statistiques
France – Pays-Bas : 33-31 a.p. (12-11, 26-26, 29-27)
Ahoy, Rotterdam – 8500 spectateurs
Arbitres : Cristian Lemes et Mathias Sosa (Uru)
France :
Entraîneur : Sébastien Gardillou.
Gardiennes : André (1 arrêt / 6 tirs dont 1/1 pén), Sako (12 arrêts / 38 tirs dont 0/1 pén)
Nocandy (0/1), Toublanc (3/3 dont 2/2 pén), Mairot (1/4), Dury (1/2), Sajka, O. Kanor (2/2), Horacek (2/7), Foppa (4/5), Granier (4/6), Ondono (0/1), Bouktit (9/10 dont 4/4 pén), Grandveau (4/7), Karamoko, Wajoka (3/3)
Exclusions temporaires : Dury (26′, 41′), Ondono (57′)
Pays-Bas :
Entraineur : Henrik Signell
Gardiennes : Duijndam (0 arrêt / 2 tirs dont 0/2 pén), ten Holte (11 arrêts / 41 tirs dont 0/4 pén)
Van Maurik, Abbingh, Nüsser (1/5), Van Wetering (6/6), Van Der Helm, Dulfer (1/2), Freriks, Sprengers (2/4), Maarschalkerweerd (6/8), Malestein (6/9 dont 1/1 pén), Vollebregt (1/2), Van Der Vliet, Housheer (5/12 dont 0/1 pén), Polman (3/5)
Exclusions temporaires : Housheer (16′), Maarschalkerweerd (25′), Malestein (58′)
DÉCLARATIONS
Sébastien Gardillou : Quand on gagne, je suis heureux, d’autant plus quand on gagne une médaille. Je suis d’autant plus heureux qu’on a fait ce qu’on avait dit qu’on ferait, tactiquement notamment. On a su varier les modes de jeu, que ce soit en défense ou en attaque. Quand j’ai pris Fatou Karamoko en début de préparation, les gens se sont peut-être demandé ce que je faisais mais, ce soir, elle est dans nos meilleures défenseuses. J’ai vraiment aimé ce qu’on a fait et ce que les filles ont réalisé. Elles ont été rugueuses, comme on n’a pas su le faire vendredi et lundi, mais aussi froides. Elles n’ont pas paniqué, même si en prolongations, on a bafouillé un ou deux ballons. On finit avec le bronze, c’est mieux qu’à l’EURO 2024. On y arrive avec une équipe remaniée, tout ça grâce au travail de la fédération. Bosser avec Eric Baradat, c’est une chance, il me permet d’avoir des joueuses prêtes à être utilisées, comme Fatou Karamoko. Quand je la choisis, je sais qu’elle sera vite capable de s’adapter avec les A. C’est un exemple parmi tant d’autres de filles qui ont été extraordinaires sur cette compétition. Je m’accorde 1/35ème du mérite de cette médaille, car je bosse avec un staff extraordinaire, qui a autant de mérite que moi dans cette médaille de bronze.
Clarisse Mairot : Je suis trop contente ! On a mis beaucoup d’énergie, tout ce qui nous restait, et j’ai senti dès ce matin que ça allait bien se passer. Même quand elles égalisent pour revenir en prolongations, même en début de match où on se rate un peu, je sentais qu’on était bien. On avait les ballons dans le premier quart d’heure, c’est juste qu’on ne marque pas. En deuxième période, ce sont elles qui sont souvent derrière et qui recollent plutôt que le contraire, surtout dans le dernier quart d’heure. Notre défense a été énorme, on a récupéré des ballons, Hatadou a fait des arrêts…On a mis un peu de temps à les concrétiser, mais on a fini par y arriver. Cette médaille, c’est la consécration de beaucoup de sacrifices et de travail. C’est toujours la fin de la compétition qu’on retient, toujours le résultat final et l’an passé, même si on fait une bonne compétition, on rentre sans rien. Là, c’est incroyable de repartir avec le sourire et une médaille autour du cou. En plus, nos supporters étaient là, on avait dit hier qu’on voulait mettre la clim’ et on a plus entendu les Français que les Hollandais dans les tribunes. Je suis super fière et vraiment très heureuse.
Tamara Horacek : Je suis très fière de l’équipe, très fière qu’on ait réussi à avoir cette médaille malgré les aléas. On a perdu, on a gagné, on a encore perdu…Mais ce soir, on a tout donné pour ne pas revenir les mains vides à la maison. Même si on a laissé un peu durer le suspens…On a réussi à rester calme, malgré le fait qu’on jouait à l’extérieur. Quand arrive la prolongation, je me souviens du match des Jeux où on était à six ou sept buts derrière en demi-finale et qu’on a fini par gagner. Je regarde Pauletta, elle me dit « tu te souviens ? » et je lui réponds « oui, oui, je me souviens. »Il fallait rester calme, ne pas s’affoler, mais je sentais qu’on allait le faire. Cette médaille, elle vient récompenser tout le travail qu’on a mis. Tout le monde nous disait que ça allait être compliqué avec les absentes, mais chaque jour, on a travaillé pour palier les absences. Chaque jour, on a tout donné, et c’est une belle récompense pour ce groupe, qui n’a jamais rien lâché.
Fatou Karamoko : Je suis hyper, hyper contente que le travail ait payé. Pour une première compétition, finir avec une médaille, c’est incroyable. Je suis tellement heureuse et fière que Sébastien m’ait fait confiance, j’ai essayé de faire de mon mieux quand on faisait appel à moi. On savait que ça allait être dur aujourd’hui, mais on a montré qu’on n’avait pas peur et on a réussi à les éteindre. Je fête mes vingt ans aujourd’hui, je ne pouvais pas espérer mieux que de finir avec la médaille de bronze. Je n’en reviens toujours pas, j’en parlerai à mes gosses plus tard !
LA LISTE
Gardiennes : Floriane ANDRÉ (Brest Bretagne Handball) – Camille DEPUISET (Brest Bretagne Handball) – Hatadou SAKO (Gyor Audi ETO KC)
Ailières gauches : Nina DURY (JDA Bourgogne Dijon Handball) – Suzanne WAJOKA (Metz Handball)
Arrières gauches : Orlane KANOR (FTC Rail Cargo) – Clarisse MAIROT (Brest Bretagne Handball) – Méline NOCANDY (Brest Bretagne Handball)
Demi-centres : Léna GRANDVEAU (Metz Handball) – Tamara HORACEK (RK Krim, cap)
Pivots : Sarah BOUKTIT (Metz Handball) – Pauletta FOPPA (Brest Bretagne Handball) – Oriane ONDONO (Brest Bretagne Handball)
Arrières droites : Emma JACQUES (Esztergom Handball) – Fatou KARAMOKO (Stella Saint Maur) – Marie-Hélène SAJKA (OGC Nice Côte d’Azur Handball)
Défenseure : Lilou Pintat (JDA Bourgogne Dijon Handball)
Ailières droites : Lucie GRANIER (Metz Handball) – Alicia TOUBLANC (Debrecen)
LE STAFF
Sélectionneur : Sébastien GARDILLOU / Adjoints : David BURGUIN, Amandine LEYNAUD / Entraîneur : Franck PROUFF / Préparation physique : Clément LAMBERT / Médecin : Cindy CONORT / Kinésithérapeutes : Cesare COCUZZA, Julien KAMM, Stéphane ROBIN / Analyste vidéo : Lucile BRUXELLES / Psychologue : Pascal NIGGEL / Responsable administrative et logistique des équipes de France : Aurélie HARROUET / Responsable communication et médias : Coline BILLOT / Intendant : Guillaume SIMON / DTN : Pascal BOURGEAIS / Chef de délégation : Rémy LÉVY
RÉSULTATS DES BLEUES – MONDIAL IHF 2025
Tour préliminaire du 26 novembre au 2 décembre – Groupe F à ‘S-Hertogenbosch :
* Vendredi 28 novembre à 21h00 : France – Tunisie : 43-18 (21-12)
* Dimanche 30 novembre à 18h00 : Chine – France : 21-47 (12-26)
* Mardi 2 décembre à 21h00 : France – Pologne : 42-28 (18-17)
Tour principal du 4 au 8 décembre à Rotterdam / Groupe III
* Jeudi 4 décembre à 18h00 : France – Autriche : 29-17 (14-12)
* Samedi 6 décembre à 18h00 : Argentine – France : 17-29 (8-14)
* Lundi 8 décembre à 20h30 : France – Pays-Bas : 23-26 (13-14)
Tableau final du 9 au 14 décembre
* Mardi 9 décembre à 17h15 – Dortmund : Allemagne – Brésil : 30-23 (17-11)
* Mardi 9 décembre à 20h30 – Dortmund : Norvège – Monténégro : 32-23 (19-11)
* Mercredi 10 décembre à 18h – Rotterdam : Pays-Bas – Hongrie : 28-23 (14-9)
* Mercredi 10 décembre à 21h – Rotterdam : Danemark – France : 26-31 (12-17)
* Vendredi 12 décembre à 17h45 – Rotterdam : France – Allemagne : 23-29 (12-15)
* Vendredi 12 décembre à 20h45 – Rotterdam : Norvège – Pays-Bas : 35-25 (18-14)
* Dimanche 14 décembre à 14h30 – Rotterdam : France – Pays-Bas : 33-31 a.p. (12-11, 26-26, 29-27)
* Dimanche 14 décembre à 17h30 – Rotterdam : Allemagne – Norvège : 20-23 (11-11)