Lundi après-midi, l’équipe de France féminine a découvert l’Arena Paris sud 6 lors d’une session commune avec les Norvégiennes. La capitaine des Bleues a confié son sentiment à la sortie de cet entraînement.
À la découverte de l’Arena Paris Sud 6, quelles sont tes premières impressions ?
J’aime beaucoup le code couleurs et en particulier le bleu. La salle est particulière avec un plafond plutôt bas et des tribunes un peu éloignées sur les côtés. Maintenant, j’ai surtout hâte de voir la salle remplie.
Était-ce important de prendre des repères avant le rendez-vous de jeudi, face à la Hongrie, qui lancera votre tournoi ?
Ce n’est pas une légende : c’est important de voir la salle pour prendre ses marques. Surtout avant des matchs importants, j’apprécie beaucoup de marcher un petit peu sur le terrain et de sentir les couleurs, la distance des panneaux disposés autour du terrain, les panneaux d’affichage du score aussi. Cela rend les choses plus concrètes et je suis contente que nous ayons pu nous entraîner ici pour prendre des repères.
Après une période de préparation à Capbreton partagée avec l’équipe norvégienne, vous n’avez pas tardé à vous retrouver…
Cela aurait pu être n’importe quelle autre équipe, c’est simplement une opportunité car la Norvège disposait d’un créneau d’entraînement proche du notre qui permettait de nous entraîner plus longtemps ensemble. C’est bien de s’entraîner avec une équipe que l’on connait bien avec des entraîneurs qui s’apprécient. Il y a un bon état d’esprit entre les deux équipes et, à trois jours d’un match, nous n’avions pas trop envie de nous entraîner avec une équipe dont tu ne connais pas la manière de s’entraîner ; cela peut éviter de prendre des coups inutiles. C’était aussi intéressant de faire quelques systèmes contre une défense qui a des habitudes différentes de la nôtre. Nous avons caché des choses, certainement elles aussi, mais on a quand même vu quelques options de leur côté…