WEBINAIRE – PLAN DE REPRISE ET D’ACCOMPAGNEMENT

Pourquoi ne pas avoir prolongé la licence 2020-2021 sur 2021-2022 ?

La FFHandball a effectué un choix relatif à la part fédérale des licences pour la prochaine saison et il appartient à chaque ligue et comité de faire ses propres choix sur la gestion des licences 2020-2021 et-ou 2021-2022 au regard de la liberté financière de chaque structure.

Combien de clubs amateurs ont à ce jour sollicité une aide financière sur les 5M€ alloués au plan de reprise ?

40 dossiers ont été déposés à ce jour (29 mars 2021).

Quel montant global a été accordé ?

400 000 € ont été alloués aux 40 dossiers déposés. 

Quel est le projet du plan de reprise de la FFHandball ? 

Notre projet vise à : 

  • Permettre au plus grand nombre de licencié.e.s de reprendre une licence pour la prochaine saison avec un coût réduit (grâce aux propositions de la FFHandball, aux ligues et aux comités)
  • Permettre aux clubs de faciliter leurs actions au travers des dotations de kits
  • Aider les clubs et territoires (ligues-comités) à envisager des activités de printemps et d’été si le contexte sanitaire permet de mettre en place des activités de plein air et-ou d’intérieur
  • Faire en sorte que le public des pratiquant.e.s et des non pratiquant.e.s n’oublie pas le handball (avec les animations scolaires et des clubs) et reste intéressé par notre discipline (pour la regarder et/ou la pratiquer)

Représentez-vous encore les 2500 clubs affiliés ?  Travaillez-vous pour eux ?

Nous oeuvrons au quotidien pour :

  • Permettre au plus grand nombre de licenciés de reprendre une licence pour la prochaine saison avec un coût réduit (grâce aux propositions de la FFHandball, aux ligues et aux comités)
  • Permettre aux clubs de faciliter leurs actions au travers des dotations de kits
  • Aider les clubs et territoires (ligues-comités) à envisager des activités de printemps et d’été si le contexte sanitaire permet de mettre en place des activités de plein air et-ou d’intérieur
  • Faire en sorte que le public des pratiquants et des non pratiquants n’oublie pas le handball (avec les animations scolaires et des clubs) et reste intéressé par notre discipline (pour la regarder et-ou la pratiquer)

Prévoyez-vous un aménagement des compétitions ? 

Les compétitions ont été arrêtées, les territoires vont mettre en place des formes de pratiques alternatives non compétitives.

MyCoach by FFHandball fonctionne-t-il enfin pour les Ententes ?

Cette fonctionnalité sera disponible dès le mois de septembre.

L’application éducateur est-elle disponible sur MyCoach by FFHandball ?

Cette application est prête et sera livrée d’ici la fin de saison. 

Que prévoyez-vous pour les salariés de clubs qui ne peuvent plus intervenir en milieu scolaire du fait de la situation sanitaire ? 

La FFHandball, les ligues et les comités ne peuvent intervenir directement pour aider les clubs qui ont des salariés. Il est certain que la plupart des éducateurs sportifs sont dans l’incapacité d’entrainer de façon  »classique » au sein de leur club (entrainements dits traditionnels pour le handball à 7 en gymnase) et au sein des établissements scolaires au regard du contexte sanitaire. L’Etat, comme vous devez sans doute le savaoir, a mis en place des mesures de soutien à l’emploi au travers de la mobilisation de l’activité partielle. Le club peut également, dans le cadre d’une activité totale ou partielle de son salarié, mettre en place de l’activité  »aménagée » (pratique sans contact, en extérieur, en distanciel).

Les comités peuvent-ils bénéficier de dotations en kits de reprise ?

Le plan de reprise a été construit à destination des clubs essentiellement mais les comités peuvent s’ils le souhaitent être dotés de kits Beach Handball.

Disposez-vous d’une documentation relative aux modalités de pratique en milieu scolaire ? 

Ces éléments (conventions, annexe à la convention, exemple de convention tripartites, guides matches à thèmes) sont disponibles au téléchargement sur le site de la FFHandball.

Qu’en est-il des masques destinés à la pratique sportive évoqués par la Ministre des Sports ?

Ces masques sont en développement et en cours d’homologation.

Envisagez-vous la sortie d’un guide des situations de jeu en extérieur ? Ou l’ouverture d’une plateforme d’échange spécifique sur MyCoach by FFHandball ?

Un webinaire sera dédié à cette thématique le 20 mai 2021 18h30 sur BeSport.

Des dotations à destination des clubs qui se créeront au mois de septembre sont-elles prévues ?

Cela n’est pas prévu.

L’Etat prévoit des aides à l’apprentissage. La FFHandball prévoit-elle une aide en deuxième année étant donné que le reste à charge de la première année pour le club est de 45€ ? 

Cela n’est pas prévu.

Ou pouvons-nous visualiser les kits « offre de pratique » ?

Le descriptif est disponible sur la plateforme de commande des kits « offre de pratique ».

Pouvons-nous bénéficier des « 3 x 12 000 ANS » après le 1er septembre 2021 ? 

Les aides de l’ANS à la création d’emploi, telle que les 3 x 12 000 sont gérées et instruites par les DRAJES. Chaque DRAJES a son propre calendrier de campagne. Nous vous conseillons donc de vous rapprocher du référent emploi de votre territoire (https://www.agencedusport.fr/IMG/pdf/2020-05-27_annaire_referents_dr_dd_part_territoriale.pdf) pour récupérer ces informations. L’emploi aidé doit être créé en 2021. La Campagne ANS sera ouverte entre avril et fin mai 2021.

Est-il prévu d’abandonner les frais de mutation de la saison 2020-2021?

Cela n’est pas prévu. 

Les filières de renouvellement de l’élite sont mises à mal aujourd’hui, prévoyez-vous une nouvelle orientation de la détection ?

Retrouvez l’article à ce sujet.

WEBINAIRE – KINDER JOY OF MOVING HANDFIT DAYS

Comment corriger en distanciel des postures dangereuses ? 

Il y a un accompagnement dans la séance par le coach Handfit mais également par des apports de vigilances au moment de la réalisation des exercices. De plus, la typologie d’exercice a également était soigneusement choisi pour minimiser les risques de blessures.

De quel matériel les familles doivent-elles disposer en distanciel ? 

Le matériel nécessaire est le suivant : 

Tapis de sol ou une serviette
Une tenue de sport adaptée confortable
Bouteille d’eau
Un Fitball (swissball) ou une chaise
Des ballons ou des paires de chaussettes
Une balle de tennis

La participation aux défis suppose-t-elle de produire des vidéos ?

Il y aura une alternance entre des défis avec des photos et un défi filmé. Vous aurez accès très prochainement aux modalités de participation.

Où devrons-nous envoyer nos contenus photos ou vidéos ?

Chaque semaine un défi sera partagé sur les réseaux sociaux de la FFHandball. Pour participer aux défis, il faudra remplir un formulaire en ligne et déposer son contenu photo ou vidéo. Le lien sera disponible sur la publication du défi.

Pour pérenniser le Handfit en club, faut-il des animateurs certifiés ?

Oui, il est essentiel de se former à la pratique du Handfit afin d’accueillir dans les meilleures conditions les pratiquants dans les clubs. La formation est la garantie d’une prise en compte individualisé des pratiquants dans un groupe pour évoluer en toute sécurité. 

Quels seront les horaires de ces séances ?

Les horaires seront définis par vos clubs car la diffusion des séances seront organisées par les clubs. Les clubs quant à eux, recevront de la part de la FFHandball des liens de diffusion. Ces séances pourront être revues en replay.

Comment s’inscrire ?

Tous les clubs recevront les modalités d’organisation (lien, rythme de la semaine). En complément, il vous est également possible d’aller sur la plateforme fédérale de reprise pour commander (gratuitement) le kit handfit en distanciel et ainsi être dans la base de données pour recevoir de manière privilégié des informations complémentaires à l’opération.

Pouvons nous prendre part à ce dispositif si nous n’avons pas d’animateur certifié Handfit ?

Sur ce dispositif oui, car les séances sont conçues « clés en main » mais pour une pratique dans le club pérenne il est essentiel d’avoir un animateur Handfit.

La licence événementielle est-elle indispensable pour suivre les séances proposées par les clubs ? 

Oui, il est impératif que les clubs créent des évènements et qu’ils licencient avec des licences évènementielles les pratiquants qui participent au mois Kinder Joy of Moving Handfit Days. 

Quelle est la durée de ces 3 séances clés en main ?

La première séance de découverte sera d’un format de 30mn puis les 2 suivantes sous un format traditionnel Handfit de 45 minutes environ.

Ces séances viseront quel public ? Quelles tranches d’âge ?

Ce dispositif est en direction des jeunes des clubs et leurs parents.

WEBINAIRE – DEPOSER SA DEMANDE DE SUBVENTION ANS 2021

Comment déposer les compte-rendus 2020 et comment faire si l’action n’a pas pu être réalisée du fait de la crise sanitaire ? Où retrouver le bon formulaire pour le compte rendu financier de l’ANS 2020 ? 

Les comptes rendus financiers d’actions sont maintenant dématérialisé. Rendez vous sur le Compte Asso pour remplir en ligne votre bilan. 

Guide utilisateur : https://www.agencedusport.fr/IMG/pdf/2021_guide_d_utilisateur_comptes_rendus_financier.pdf .                           

Les bilans sont à remplir avant de faire une nouvelle demande.  

Vous n’avez pas pu réaliser ou finaliser votre action 2020 :

> Si vous souhaitez faire une nouvelle demande en 2021 : remplissez un bilan intermédiaire au moment de votre demande. Votre bilan définitif sera à rendre au maximum pour le 30 septembre 2021.                                       
> Si vous ne souhaitez pas déposer de nouvelle demande pour 2021 : vous avez jusqu’au 30 septembre 2021 pour déposer votre bilan.                                   
                                                                                                                    
Si jamais vous ne pouvez pas du tout justifier l’utilisation de la subvention, la somme non utilisée pourra vous être redemandée par l’Agence Nationale du Sport. 

Comment savoir si mon club a déjà un compte association ? 

Sur la page d’accueil du Compte Association vous pouvez contacter l’assistance en cliquant sur la bouée en haut à droite. En communicant vos numéros SIRET et RNA, l’assistance pourra vous communiquer si votre association a un compte et si oui, quelle adresse mail y est associée. Si vous avez accès à cette adresse mail vous pouvez faire la manipulation « mot de passe oublié ». Si vous n’avez pas accès à cette adresse, vous pouvez demander à l’assistance de supprimer ce compte et en créer un nouveau. (vous n’avez pas besoin d’attendre que le compte soit supprimer pour en créer un nouveau) 

Où peut-on trouver les codes de subvention ?

Les codes de subventions à entrer dans la zone de recherche du Compte Asso sont à retrouver dans le guide méthodologique : https://www.ffhandball.fr/fr/vie-des-clubs/se-developper/mon-club/agence-nationale-du-sport Vous pouvez également les demander à votre référent ANS en ligue. 

Les subventions PSF sont elles ouvertes à tous les clubs ?

Oui.

Quelle est la date limite de dépôt des dossiers ?

Les dossiers peuvent être déposés jusqu’au 21 mai minuit. 

Quels sont les critères pour allouer les enveloppes pour les territoires ? Les montants seront-ils différents ?

La base de répartition des enveloppes par territoires est reprise de l’ex-CNDS. Chaque enveloppe territoriale a augmenté selon le même pourcentage que l’enveloppe globale, soit environ +30% par rapport à 2020. 

Combien d’actions est-il possible de déposer ? Peut on déposer des actions sur plusieurs volets différents ? 

Les clubs peuvent déposer 3 actions. Les comités et les ligues peuvent en déposer 5 (dont l’action concernant le PPF). Oui, les actions peuvent répondre à plusieurs volets.

Il y a-t-il une somme minimum, une somme maximum, une somme préfixée ? 

Il y a un seuil minimum de subvention pouvant être attribué à une structure (il s’agit du montant global attribué, pouvant concerner plusieurs actions). Ce seuil est fixé à 1 500€. Il peut être rabaissé à 1 000€ pour les structutres ayant leur siège dans une commune ZRR/contrat de ruralité et pour les dossiers comprenant au moins une action retenue dans le cadre du plan France Relance (uniquement pour cette année).

L’intervention en milieu scolaire entre-t-elle dans ce cadre ? 

Oui.

Pourquoi les comités ne peuvent-ils pas s’appuyer sur les aides à la formation ?

Il a été décidé de réserver ces aides aux ligues car ce sont elles, via les ITFE, qui portent les offres de formation.

Le montage d’une école d’arbitrage répond-il à l’orientation « prise de responsabilité des jeunes » ? 

Oui.

Si des actions sont mises en place à partir du 1er mai, peuvent elles êtres intégrées à la demande ?

C’est possible, oui. Les actions financées peuvent commencer avant le dépôt de la demande. Elles doivent simplement avoir commencées en 2021 et non en 2020.

Est-il possible de faire financer une baisse du prix des licences (ou financer la part club) dans le cadre du volet solidarité et reprise ? La réduction ne concerne-t-elle que les prises de licence ou aussi les renouvellements ? 

Oui. L’orientation vise plus particulièrement les prises de licences nouvelles car les renouvellements bénéficient déjà d’une réduction liée à la suppression de la part fédérale pour ces licences mais ce n’est pas complètement rigide. 

Les classes à horaires aménagées handball au sein d’un collège rentrent-elles dans le volet développement du handball ?

Non.

La validation des projets clubs est elle confiée à la FFHandball ? 

Non, ce sont les Comités de pilotage territoriaux. Le comité de pilotage fédéral vérifie l’ensemble des propositions remontées par les copil territoriaux et valide les projets des ligues. 

Concernant les clubs omnisports, faut il créer un compte par section ? Comment faire pour distinguer le budget de l’omnisport et de la section ? 

Non, les demandes des sections seront saisies via le compte du club omnisport.                                               

Concernant les budgets prévisionnels, ils peuvent être joints tous les deux dans la partie administrative en les regroupant dans un dossier zip. Sinon le budget de la section peut être joint à l’étape 3 du dépôt de la demande, en tant que document « Autre ».

Les apprentis font-ils partie des ETP de l’association ?

Oui.

Dans le cas ou le projet consiste a l’aide a la prise de licence, que se passera t-il si nous n’atteignons pas le nombre de licenciés ciblés ? 

S’il vous a été attribué une somme qui s’avère plus importante que nécessaire, le surplus vous sera redemandé par l’Agence.

Quelle est la date limite de réalisation de l’action ?

Dans l’idéal, l’entièreté de l’action doit se dérouler sur l’année civile 2021. Si l’action n’est pas une action ponctuelle mais se déroule sur plusieurs semaines/mois, elle peut se terminer sur le premier trismestre 2022 mais doit obligatoirement commencer en 2021.

Quand saura t-on si nos dossiers ont été acceptés ? 

Vos ligues seront en capacité de vous donner cette information au cours du mois de juillet. Une notification officielle vous sera envoyé par l’Agence Nationale du Sport au moment du paiement (août-septembre).

Si l’action est prévue avant le moi d’août, comment saurons-nous si elle est subventionnée ? 

Il ne sera pas possible de le savoir officiellement.

Pouvez vous précisez le maximum de 500€ pour  les « Achats » et « Achats et fournitures » ? Cela veut il dire que si l’action consiste à acheter des équipements supplémentaires pour inciter à la prise de licences, ces achats ne peuvent pas dépasser 500€ ?

Cette règle est établie pour que les subventions PSF ne financent pas des dépenses d’Investissement. Un achat, à l’unité, ne doit pas dépasser 500€ HT. Mais plusieurs achats d’équipements qui, à l’unité, coûtent moins de 500€ HT (ex: 1 t-shirt), c’est possible. 

Pour les informations à renseigner concernant le nombre de licenciés, ainsi que la répartition hommes-femmes, comment pouvons-nous disposer des chiffres ? Puisqu’à ce jour, « Extraction GestHand » ne fonctionne toujours pas ?

La direction des services informatiques de la fédération annonce un rétablissement de Gest’hand Extraction pour a fin du mois d’avril.

Qui est en charge des dispositifs emplois, fonds de solidarité et équipements ? 

Ce sont les services déconcentrés de l’Etat, DRAJES en région et DSDEN en département qui s’occupent de ces dispositifs. Retrouvez les coordonnées de vos référents par territoires sur le site de l’Agence : https://www.agencedusport.fr/Annuaires-des-referents . 

 

WEBINAIRE – DECOUVRIR LE BEACH HANDBALL

Serait-il possible d’avoir des indications sur des aides possibles à l’aménagement d’un terrain de beach ? Comment peut-on avoir des financements ANS structure, est-ce que la FFHandball centralise ce genre de demandes?

L’ANS équipement est géré par les DRAJES, nouvelle appellation des DR. Il faudra appeler votre contact pour remplir un dossier. 

Le joueur ou la joueuse spécialiste et le gardien ou la gardienne de but sont-ils/elles différent.e.s ? 

Ils/elles ont le même maillot ou brassière mais ce sont 2 joueur.se.s différent.e.s. Le/la spécialiste remplace le/la gardien.ne en attaque c’est un joueur ou une joueuse au profil de demi-centre, c’est le/la joueur.se organisateur.trice en attaque. Tous et toutes peuvent être spécialiste, GB ou autre. 

Les exclusions sont-elles de 2 minutes ou seulement d’1 minute ?

Il n’y a pas d’exclusion temporaire comme dans le handball à 7 (traditionnel). Le joueur ou la joueuse exclu.e peut revenir sur le terrain après un changement de possession de balle.

Qu’entraine un contact sur un joueur dans le jeu normal ?

Le beach handball est une discipline sans contact. Par contre, le défenseur peut jouer le passage en force qui existe aussi, bien sûr, au beach handball. Il n’y a donc pas de neutralisation. Une situation de contact peut être sanctionnée uniquement d’un jet franc si elle est trés « légère ». Par contre, la moindre poussette, le moindre accrochage de bras sera sanctionné d’une exclusion. De même que sur les shoot-out, le moindre contact du gardien sur l’attaquant(e) sera sanctionné d’un carton rouge et d’un pénalty. L’intégrité physique des joueurs étant la priorité au beach handball. C’est ce qui permet notamment d’avoir un sport spéctaculaire.

Combien de joueurs ou joueuses maximum peut-on inscrire par équipe ?

Sur la feuille de match, 10 joueurs ou joueuses peuvent être inscit maximum par équipe en compétition.

Est-ce qu’un joueur, une joueuse peut remplacer le gardien ?

N’importe quel(le) joueur(se) peut jouer gardien ou spécialiste, il suffit juste de mettre le maillot ou la brassière de la bonne couleur.

A quelle distance un shoot est catégorisé mi-distance et bonifié par rapport au 6m ?

La distance n’intervient pas dans la valorisation à 2 points, c’est le statut du joueur(se) ou la figure réalisée ou le pénalty.

Y a t-il toujours une volonté de rendre à terme le beach handball olympique et de favoriser le développement à l’international ?

C’est une réelle volontée de l’IHF (fédération internationale) et de l’EHF (fédération européenne) mais c’est le Comité International Olympique (CIO) qui valide l’entrée des différents sports aux Jeux Olympiques.

Le sandball est-il toujours d’actualité ?

Le sandball est une pratique pour un public différent et les objectifs ne sont pas les mêmes. Mais ces deux pratiques restent complémentaires.

Sandball => Amusement // Beach Handball => découverte 

Peut-on penser à court terme qu’il n’y a pas ou peu de pause après la saison en indoor et enchainer sur une saison de beach ?

Effectivement il se peut qu’il n’y ait pas de pause. Tous les joueurs et toutes les joueuses qui l’ont pratiqué (professionnels compris) y ont trouvé des bienfaits au niveau physique et physiologique. L’idée est de proposer des offres de pratique toute l’année pour une meilleure exposition du handball aussi à l’extérieur.

Peut-on être devant pendant l’entre-deux du moment qu’on est à 3 m ?

Exactement, tous les autres joueurs (attaquants ou défenseurs) peuvent se trouver n’importe où sur le terrain.

 L’engagement après un but se fait-il du gardien ?

Oui. Ce qui lui permet même s’il(elle) a pris un but de tirer et de….marquer.

Quels sont les placements et remplacements idéals pour le binôme arbitre et répartitions des tâches ?

C’est une réfexion que les binômes doivent avoir quand ils commencent le beach. Et il y a bien un placement à proscrire pour ne pas gêner les changements du gardien. Nous vous laissons le découvrir. Par contre dans la répartition de tâches, c’est l’équivalent à ce que nous avons en indoor. 

En cas d’égalité lors des shoot out.  Quelle est la suite, mort subite ou de nouveau 5 tireurs ? 

Si après les 5 premiers tireurs lors des shoot-out, nous avons encore une égalité. Une série de 5 tireurs(ses) reprend (qui peuvent être les mêmes que lors de la première série). Par contre, c’est en effet à la mort subite que le résultat se fera. Et bien sûr avec un même nombre de tirs pour chaque équipe. Aussi, l’équipe qui a commencé à tirer lors de la première série sera en défense en premier lors de la deuxième série.

Peut-on faire un marquage individuel sur le spécialiste ?

Si on sort le spécialiste du jeu, on se retrouve à défendre à 2 contre 3 attaquants sur toute la zone, c’est ingérable. En revanche, une défense avec le joueur ou la joueuse central.e avancé.e pour repousser le ou la spécialiste et l’empêcher de s’organiser est très intéressante. Il faut dans ce cas, que les deux défenseurs des ailes se recentrent un peu pour géner la passe sur le pivot, quand le ou la spécialiste a le ballon, et surtout que le joueur ou la joueuse avancé.e redescende un peu quand la balle est à l’extérieur pour couper la trajectoire vers le pivot. Il faut forcer l’attaque à jouer le kung-fu à l’opposé qui est une passe difficile et qui laisse le temps au défenseur de se placer pour aller contrer le kung-fu.

Combien de terrains faut-il pour un tournoi ?

Tout dépend du nombre d’équipes et du temps dont vous disposez. Il faut éviter qu’il y ait plus de 7 équipes par terrain (ou alors composer 2 poules). Les temps de jeu peuvent-être adaptés en fonction du nombre d’équipes et 3 binômes d’arbitres par terrain, 1 qui arbitre, 1 qui fait la table de marque et 1 qui se repose.

WEBINAIRE – SE PREPARER A LA REPRISE

Doit-on mettre plusieurs phases d’étirements dans une séance?

Il est toujours possible de mettre plusieurs phases d’étirements dans une séance. L’important est de bien définir les objectifs de ceux-ci. On peut par exemple très bien concevoir de faire une série d’étirements pré-compétitifs après les échauffements (étirements plutôt dynamiques) pour terminer une séance par un protocole d’étirements passifs (bien sur en respectant la mise en place).

Les étirements de récuperation sont a faire dès la fin de la séance ou combien de temps après ?

Il y’a la théorie et il y’a la pratique. Lorsque cela est possible, on recommande d’effectuer les étirements après séance, environ 1h – 1h30 après la fin de l’activité. Ce qui est difficilement envisageable. On peut donc associer un temps de récupération active à la suite de la séance pour enchaîner avec les étirements passifs qui seront réalisés dans un objectif de retour à la mobilité et l’extensibilité du début de séance et donc effectué avec une trés légère tension. Il s’agit également d’un retour vers en temps calme, associé à la respiration. 

Il existe un débat sur l’utilisation de l’étirement en amont de la pratique compétitive. Que recommandez-vous ?

Comme dans tous les débats, il est nécessaire de savoir ce que l’on souhaite faire. Si l’on voit les étirements pré-compétitifs (qui sont sur une base dynamique) comme une préparation aux gestes, une mobilisation de l’ensemble des articulations et des chaînes musculaires à travers l’activation de différents capteurs proprioceptifs, alors il semble intéressant de les mettre en place. Si l’idée est d’effectuer des étirements passifs, plus ou moins longs, en espérant sauter plus haut, alors il faut passer son chemin.

On constate beaucoup de ruptures du tendon d’Achille cetre saison. Les étirements de ce tendon sont ils recommandés ou dangereux ?

La bonne question est d’abord de connaître l’état du tendon. Sur un tendon sain, pas de risque particulier si les étirements sont bien conduits. Ces derniers peuvent même apporter de l’intérêt sur l’amélioration de la compliance. Par contre, sur un tendon inflammatoire et-ou dégénératif, alors il est plus prudent de remettre les étirements à plus tard et de privilégier d’abord une prise en charge thérapeutique encadrée.

WEBINAIRE – LE HANDBALL SANTÉ

Pour les licenciés mineurs : le certificat médical est désormais supprimé, même pour la création de licence, et remplacé par un questionnaire de santé. Est-ce bien prudent ?

Depuis 2019, de nouveaux examens médicaux sont obligatoires pour les enfants de moins de 16 ans. Le médecin doit s’assurer lors de ces examens de la bonne santé de l’enfant et donc de son aptitude à réaliser les activités sportives. 
En théorie tous les enfants seront donc médicalement suivis et n’auront donc que le questionnaire de santé à remplir. 

Cela a été décidé pour assurer un meilleur suivi des adolescents et pour favoriser la pratique sportive, cette dernière restant le premier garant d’une bonne santé.
Vous trouverez ci-après les textes de loi montrant la compétence des médecins et le calendrier des examens obligatoires.

Mon avis : On peut regretter l’absence d’article adapté à la pratique sportive intense et en compétition pour laquelle un électrocardiogramme de repos est conseillé tous les 3 ans à partir de 12 ans, ce qui n’est pas explicitement écrit.
Normalement chaque médecin se doit de connaître les recommandations.

Textes de loi :

Article L231-1

Les médecins de santé scolaire, les médecins du travail, les médecins militaires et les médecins généralistes contribuent, en liaison avec les médecins spécialisés, aux actions de prévention concernant la pratique des activités physiques et sportives grâce à une formation initiale nécessaire à la pratique des examens médico-sportifs, contenue dans le deuxième cycle des études médicales et grâce à une formation continue adaptée.
Article L231-2

Modifié par LOI n°2020-1525 du 7 décembre 2020 – art. 101

III.- Pour les personnes mineures, et sans préjudice de l’article L. 231-2-3, l’obtention ou le renouvellement d’une licence, permettant ou non de participer aux compétitions organisées par une fédération sportive, est subordonné à l’attestation du renseignement d’un questionnaire relatif à l’état de santé du sportif mineur, réalisé conjointement par le mineur et par les personnes exerçant l’autorité parentale.

Lorsqu’une réponse au questionnaire de santé conduit à un examen médical, l’obtention ou le renouvellement de licence nécessite la production d’un certificat médical attestant l’absence de contre-indication à la pratique sportive.

SUIVI MÉDICAL DE L’ENFANT ET DE L’ADOLESCENT : UN NOUVEAU CALENDRIER DES EXAMENS DE SUIVI ET UNE NOUVELLE COTATION POUR LA FACTURATION

Tous les enfants bénéficient systématiquement de 20 examens de santé. Ces derniers étaient jusqu’à présent tous réalisés avant l’âge de 6 ans. Depuis le 1er mars 2019, ils s’échelonnent jusqu’à 16 ans. Ils sont pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie sur la base des tarifs de responsabilité (hors dépassements d’honoraires) et sans avance de frais. Pour les 3 examens donnant lieu à certificat (COE), la consultation est réalisée obligatoirement à tarif opposable.

Depuis 1er mars 2019, les examens systématiques sont réalisés selon le calendrier suivant :

De la 3e à la 6e année :  4 examens soit 1 examen par an jusqu’à l’âge de 6 ans
Entre 8 et 9 ans : 1 examen
Entre 11 et 13 ans : 1 examen
Entre 15 et 16 ans : 1 examen

Ces examens ont pour objet la surveillance de la croissance staturo-pondérale et du développement de l’enfant et de l’adolescent ainsi que le dépistage des anomalies ou déficiences (sensorielles, notamment visuelles, auditives, troubles du langage, troubles du comportement…) et la pratique des vaccinations. Ces consultations sont aussi mises à profit, de manière adaptée à l’âge, pour la prévention des addictions et la santé sexuelle des jeunes.

Pourquoi une telle différence concernant le bilan médical entre les femmes et les hommes ?

Pendant longtemps, et c’est ce qui justifie encore les bilans plus tardifs chez les femmes sportives (45 ans vs 35 ans pour les hommes), on a pensé que les femmes étaient protégées par l’imprégnation hormonale.
L’incidence des maladies cardiaques (en particulier les coronaropathies) était plus faible chez les femmes non ménopausées que chez les hommes du même âge. Mais cet avantage, elles le perdaient après la ménopause puisqu’alors l’incidence des atteintes cardiaques tendait à dépasser celle des hommes avec en plus une gravité plus importante.

Mais finalement, les maladies cardio-vasculaires sont la 1ère cause de mortalité globale chez les femmes. 
Les maladies cardio-vasculaires sont trop souvent perçues comme spécifiquement masculines touchant l’homme de 50 à 60 ans, fumeur, sédentaire, avec de l’embonpoint. Ce préjugé reste très présent, alors que de plus en plus de femmes jeunes sont touchées. Cette progression est liée à l’évolution de leur mode de vie depuis 30 ans.
En vivant au même rythme que les hommes, elles ont adopté les mêmes mauvaises habitudes : tabac, mauvaise alimentation, stress, manque d’exercice physique. L’association du tabac avec une pilule contraceptive est une catastrophe qui entraine des accidents cardiaques chez des femmes de plus en plus jeunes. Les crises cardiaques ont triplé ces 15 dernières années chez les femmes de moins de 50 ans.

D’autres différences peuvent se manifester :

  • Des symptômes souvent plus atypiques 
  • Des conséquences plus graves chez les femmes
  • Le dépistage et la prise en charge sont donc plus tardifs.
  • Des facteurs de risques plus spécifiques et plus nocifs :
  • Le tabac
  • L’association du tabac avec une pilule contraceptive
  • Le stress
  • La sédentarité, le surpoids ou l’obésité
  • Le diabète et le cholestérol
  • L’hypertension artérielle
     

Les femmes doivent redoubler d’attention aux 3 phases clés de la vie hormonale : lors de la prescription de leur 1ère contraception, pendant leur grossesse et à l’âge de la ménopause.

Les femmes ont plus de risques de décéder ou de refaire un accident cardio-vasculaire dans l’année qui suit leur crise cardiaque, comparativement aux hommes. Notamment, parce qu’elles sont moins bien traitées et moins nombreuses à suivre un programme de réadaptation cardiaque.   

Que pensez vous des ECG avec des montres sportives ? D’après notre expérience, les résultats sont similaires à ceux obtenus avec le médecin du sport du club (dans le 13, les jeunes de 10 à 16 ans ont une visite médicale gratuite financée par le département chaque saison). 

Les utilisateurs d’une montre connectée, surtout sportifs et amateurs de course à pied, sont depuis des années habitués à consulter leur rythme cardiaque depuis leur poignet. Certaines montres proposent des tracés ECG. L’enregistrement est basique, avec une seule dérivation (une seule ligne symbolisant l’activité cardiaque) contre douze pour les dispositifs professionnels utilisés par les médecins. Seules les arythmies peuvent être ainsi détectées. 

C’est une aide qu’il faut considérer comme première alerte de détection d’une anomalie chez les personnes ne souffrant pas déjà d’une pathologie du cœur. La montre n’identifie jamais les crises cardiaques et sa mesure n’est qu’indicative, et nécessite impérativement, en cas de doute, un avis médical en pure et due forme.

La montre ne détectant que les arythmies, elle est inutile dans le cadre de bilan de détection de pathologies cardiaques contre-indiquant le sport. Il serait dangereux, dans l’état actuel des produits disponibles à la vente, de prétendre que la montre connectée puisse remplacer le tracé ECG 12 pistes pour le dépistage des cardioapthies.

Bien entendu, le suivi de la fréquence lors de l’effort est et restera le but premier de ce type d’appareil.

Que pensez vous du sport sur ordonnance, trop peu suivi par les médecins ? 

Beaucoup de médecins conseillent l’activité sportive à leur patient et n’ont pas attendu cette loi pour le faire.
Il ne faut pas confondre la prescription qui s’adresse aux patients malades en ALD (affection longue durée) nécessitant un accueil sécurisé et le conseil de pratique sportive.

Les médecins généralistes sont au courant de cette loi mais ne sont pas médecins du sport et ne savent pas toujours vers qui orienter leurs patients. Ils ne connaissent pas les structures habilitées à recevoir leurs patients. 
Une information peut leur être délivrée mais l’organisation de cette dernière a été bousculée  (toutes les formations de médecins généralistes que je devais animer ont été annulées par exemple).

Les maisons sport-santé se développent petit à petit sur l’ensemble du territoire avec possibilité de consultation avec un médecin du sport et très souvent un professionnel du sport en la personne d’un enseignant en activités physiques adaptées (E-APAs). C’est leur développement qui va permettre de développer cette prescription de l’activité physique.

Les ARS (Agences régionales de santé) et les CROS et CDOS (comités régionaux ou départementaux olympiques du sport) diffusent l’information et identifient les lieux où l’accueil des malades est possibles.

Le dialogue est important dans la relation médecin-malade et le patient ne doit pas hésiter à en parler, à proposer pour avoir l’avis de son médecin.

Est-ce que les patients qui souffrent de douleurs chroniques vont faire le choix de l’APA et non du médicament pour soulager leurs douleurs ? Et est-ce que le corps médical sera suffisamment persuasif pour les convaincre ?

Lorsqu’un patient souffre d’hypertension artérielle, le premier traitement proposé est la marche quotidienne. Si ce n’est pas suivi, effectivement le médecin aura recours aux médicaments. 

Les médecins essaient de diminuer au maximum les prescriptions de médicaments mais savoir s’ils sauront convaincre leurs patients ? 

Quant aux médecins qui ne sont pas convaincus, à nous professionnels du sport-santé de les convaincre. Cela est plus facile car il y a énormément de données scientifiques faisant office de preuves de l’efficacité de l’activité physique pour la santé. 

Il sera le plus souvent nécessaire en cas de douleurs chroniques d’associer médicaments et activité physique au début, celle-ci étant parfois compliquée avec un niveau de douleur 

Comment convaincre nos jeunes des inconvénients des boissons énergisantes ?

Les boissons pour le sport ou boissons ENERGETIQUES sont souvent confondues avec les boissons énergisantes. Les premières apportent de l’énergie, pas les secondes. 

Si elles apportent toutes les deux du sucre, de l’eau et du sel (éléments devant être présents dans les boissons énergétiques), les boissons énergisantes ne respectent pas le cahier des charges que vous trouverez ci-après.
Leur concentration empêchent souvent l’absorption des éléments donc elles n’ont plus l’effet d’apport d’énergie et en plus elles peuvent être dangereuses.            
Les boissons pour l’effort doivent contenir

•    L’eau pour maintenir l’hydratation
•    Le sodium pour parfaire l’équilibre hydro minéral
•    Les glucides pour apporter de l’énergie
•    Les autres substances

Caractéristiques définies par les experts du Comité Scientifique pour l’Alimentation Humaine (Scientific Committee on Food SCF) et les experts de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES)

Composition Quantités minimales     Quantités maximales

Glucides

Au minimum 75% de l’énergie sous forme de glucides métabolisables

X

Sodium

460 mg/L 1150 mg/L

Apport énergétique

80kcal/L 350kcal/L

Osmolalité

200mOsm/kg d’eau 300mOsm/kg d’eau

LES BOISSONS ENERGISANTES OU STIMULANTES

Contiennent du café : Risques de troubles cardiaques
Contiennent trop de sucres : Risques de diabète, prise de poids 
Contiennent des éléments non indispensables : Toxicité 
Ne suivent suivent pas les recommandations (trop concentrées)
N’ont aucun effet positif sur la performance  

Est-ce que les enfants doivent suivre les mêmes règles avant de reprendre l’activité handball ? Notamment pour les moins de 11 ans, dont aucune donnée n’a été diffusée concernant la pratique sportive.

Mise en place du même protocole avec reprise progressive que pour les adultes. Un avis médical sera requis si fatigue ou autre symptomatologie. Et peut-être si poussée de croissance importante (celle-ci pouvant être induite par la diminution de l’arrêt sportif).

Concernant le cœur : pas d’ECG préconisé avant 12 ans (moins de risque que chez le sujet adulte car ils sont allés à l’école ou collège avec activités physiques et sportives).

 

WEBINAIRE – ANIMER UNE SÉANCE EN INTÉGRANT L’ARBITRE

À quelle catégorie correspond la formation initiale ? 

Nous parlons de formation initiale jusqu’à l’âge de 15 – 16 ans.

Est-il possible d’intégrer cette démarche sur des séances adultes?

La démarche est possible sur le public adulte car l’objectif est de mieux comprendre le jeu (ce que je peux faire). Ensuite, par rapport aux caractéristiques de ce public adulte, il faudra une adhésion du groupe.

Quand on estime qu’un jeune vient à l’entrainement pour jouer, comment isoler un « arbitre » et le faire analyser le jeu sans le léser ?

Effectivement, les jeunes viennent s’entraîner pour jouer, s’amuser. Tous les jeunes sont des joueurs-arbitres. Il n’y a pas un arbitre à identifier dans la séance. Il faut jouer sur les rotations, les attentes par rapport à la gestion du groupe. Le fait d’avoir ce recul pour observer, lire et analyser le duel pourra permettre à l’entraîneur d’évaluer le jeune.

Qu’est ce qui est attendu d’un arbitre joueur pour chaque catégorie ? 

Un arbitre joueur doit être en capacité d’observer de prendre les repères du défenseur et l’attaquant de sa catégorie d’âge. En changeant de catégorie, l’espace – temps sera plus réduit et c’est cette attente qui sera l’évaluation.

Le développement des ressources ne passe-t-il pas aussi par la mise en place d’une équivalence pour les anciens arbitres, selon leur niveau, par rapport à la formation animateur école d’arbitrage ? 

Pour devenir animateur école d’arbitrage, par rapport aux compétences attendues, il y a un positionnement à l’entrée de la formation. C’est à partir de là, qu’il est possible de valider ou alléger le module. L’objectif est de développer les ressources humaines en décloisonnant les domaines (un arbitre n’est pas automatiquement un formateur).

Quelle est la plus value par rapport au fonctionnement actuel dans les séances ?

Actuellement, on intègre un arbitre principalement en fin de séance. La démarche est de prendre en compte la règle pour mieux jouer, s’exprimer sans nécessairement avoir un jeune avec un sifflet.

Doit-on intégrer un arbitre ou un joueur qui pourrait devenir arbitre ?

Effectivement, la formation initiale de l’arbitre est avant tout la formation initiale du joueur : jouer pour comprendre.

Comment utiliser un jeune joueur-arbitre sur des adaptations de règles alors qu’il ne maitrise pas encore l’analyse de la règle initiale ?

Le joueur-arbitre prendra une décision en fonction de sa connaissance, expérience. C’est l’accumulation des repères pris qui pourra l’aider à se construire mais aussi à l’entraîneur d’évaluer la compétence. Nous ne sommes pas sur une accumulation de compétences mais dans une prise de décision par rapport à un environnement.

Les entraineurs doivent ils donner les bons repères aux joueurs pour qu’ils ne deviennent pas des arbitres qui jouent durant les matchs ?

Les repères à prendre sont identiques pour les deux : joueurs et arbitres. Comment l’arbitre observe le duel ? Il prend en compte le défenseur (orientation, espace, activité, placement) et l’attaquant (vitesse, orientation, ballon). En situation de joueur, cette lecture – compréhension doit être un effet bénéfique et non le contraire (être dans la contestation).

N’existe-t-il pas un risque à délaisser l’encadrement de l’arbitre si on estime que mettre un arbitre sur une situation est un moyen de se dégager du temps pour donner des précisions techniques aux joueurs ?

Effectivement, l’objet est aussi de rendre autonome les acteurs (comme le gardien de but) afin que l’entraîneur puissent se focaliser sur les comportements attendus.

Dans ce cas, comment prendre en compte les deux aspects pour mieux encadrer ?

L’idée est de se prolonger sur un seul aspect combiné (joueur-arbitre) et non séparé technique-arbitrage. Pour l’encadrement, c’est comme la gestion des ateliers, donner de l’activité aux joueurs pour être occupé.

Ce retour est très intéressant, mais sur quelle catégorie est-ce mis en place ? 

Cela concerne principalement les équipes de jeunes (jusqu’à U16). Toutes les joueuses passent dans ce statut joueur-arbitre avec ou sans sifflet.

Votre exemple est basé sur l’appui d’un JAJ, pas d’un joueur lambda ?

Pour le webinaire, effectivement les deux jeunes sont maintenant identifiés JA mais ce parcours (séance en intégrant joueur-arbitre) est intégré dans leur formation. Elles ont pris plus d’assurance grâce à une meilleure connaissance du JEU. C’était un accélérateur dans leur décision de prendre le sifflet en match et de participer à l’école d’arbitrage. Initialement joueuses, elles sont devenues JAJ par la suite. 

Comment gérer cette gestion pour l’entraîneur ?

C’est effectivement en fonction de la nature de l’entraîneur mais cette gestion est identique à l’animation des ateliers (créer des groupes, laisser vivre, évaluer en prenant du recul, être précis dans les consignes). 

Avez-vous produit des retours vidéos pour créer un temps d’échange et revoir les situations ayant posé problème ?

C’est possible, avec les outils numériques nous l’organisons sur des temps spécifiques avec un public U15 et U16.

Y-a-t-il a une rotation entre toutes les joueuses ? 

Il y a une rotation avec tout l’effectif. C’est aussi suivant les objectifs si on veut permettre à certaine fille de prendre du recul sur l’action on peut plus les solliciter. Après il faut réfléchir au système de rotation : rotation obligatoire, rotation avec défi, rotation ou l’on marque plus de points quand on est arbitre ?

À partir de quelle catégorie avez-vous mis ce type de séance en place ?

Ce type de séance est possible à partir de la catégorie U11

Où pouvons nous récupérer les outils proposés ?

Les outils sont disponibles sur ce lien 

WEBINAIRE – ACCUEILLIR UN.E APPRENTI.E DANS UN CLUB 

Quels sont les niveaux de prise en charge (NPEC) des parcours de formation par apprentissage pour les TFP « Éducateur de Handball » et « Entraîneur de Handball » définis par France Compétences, administrés par l’OPCO, vers le CFA ? Quel est le reste à charge pour l’apprenti.e et-ou l’employeur ?

Selon l’arrêté du 29 décembre 2020 du ministère du travail fixant les NPEC (Niveaux de Prise en Charge) des TFP Éducateur ou Entraîneur de Handball en contrat d’apprentissage pour 12 mois sont les suivants :

Ce sont ces valeurs qui s’appliquent actuellement pour les parcours en apprentissage des 2 TFP.

Au moins 25% du temps de travail doit être consacré à un temps en CFA ou Section d’apprentissage territoriale (en présentiel ou en distanciel).

Selon la durée du parcours par apprentissage, le NPEC évolue. 

Exemples :

–    TFP Educateur ou Entraîneur de Handball sur 16 mois à 536 heures en CFA = 7.860 €
–    TFP Educateur ou Entraîneur de Handball sur 14 mois à 469 heures en CFA = 6.877,50 €

Le financement sera mobilisé au moment du dépôt du CERFA et de la convention de formation du CFA avec l’employeur (l’association ou l’entreprise) auprès de l’OPCO.
 
Il n’y a pas de coût pédagogique pour l’employeur ou l’apprenti (gratuité à 100%).

Il n’y a que les frais annexes (hébergement, restauration, et déplacements) pour les temps en Centre de formation (CFA ou Section d’apprenti) à prendre en charge par l’employeur.

En dehors des temps en centre de formation, pour les temps en alternance dans l’association, l’apprenti est un employé comme un autre… il n’a pas à prendre en charge ces frais annexes.

Qu’est ce que l’OPCO ?

Les Opérateurs de Compétences (OPCO) accompagnent les associations ou entreprises dans le développement et la gestion des compétences et notamment au travers du financement de la formation professionnelle (salariés et/ou dirigeants bénévoles employeurs).

Les OPCO financent les parcours de formation (frais de formation et frais annexes) à partir des taux de prise en charge fixés par les branches professionnelles (représentants des employeurs et des salariés) et France Compétences notamment vis-à-vis des contrats en alternance (apprentissage et/ou de professionnalisation).

Les associations ou entreprises dépendent de l’OPCO considéré en fonction de la convention collective appliquée identifiée à partir du code NAF (Nomenclature d’Activité Française) attribué à l’association ou l’entreprise par l’INSEE, déterminant l’activité principale de la structure :

–    Pour les entreprises ou associations relevant des codes NAF : 93.11Z (gestion d’installations sportives), 93.12Z (activités de clubs de sports), 93.13Z (activités des centres de culture physique), 93.19Z (autres activités liées au sport), 93.29Z (autres activités récréatives et de loisirs n.c.a.), 85.51Z (enseignement de disciplines sportives et d’activités de loisirs) appliquant la convention collective nationale du Sport (CCNS), l’OPCO est l’AFDAS. 

https://www.afdas.com/entreprises/adherer

–    Pour les entreprises ou associations relevant des codes NAF : 8552Z – Enseignement culturel ; 8559B – Autres enseignements ; 8899A – Autre accueil ou accompagnement sans hébergement d’enfants et d’adolescents ; 9001Z – Arts du spectacle vivant ; 9004Z – Gestion de salles de spectacles ; ; 9329Z – Autres activités récréatives et de loisirs ; 9499Z – Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire appliquant la convention collective nationale des métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs, et de l’animation agissant pour l’utilité sociale et environnementale, au service des territoires (Eclat), l’OPCO est UNIFORMATION

Chaque année, l’entreprise ou l’association employeur doit obligatoirement adhérer à cet OPCO et payer une contribution en fonction de sa masse salariale brute (année N-1 et/ou année de l’année en cours projetée)
https://www.afdas.com/entreprises/contributions/declaration-de-vos-contributions-en-2021.

Le ministère du Travail a confié à l’opérateur de compétences des entreprises de proximité (OPCO EP) la prise en charge des formations suivies par les apprentis n’ayant pas encore trouvé d’employeur. 
En l’absence de contrat d’apprentissage, l’Opco EP qui prendra en charge la formation à hauteur de 500 euros par mois ainsi que les éventuels frais annexes (hébergement et restauration).Le CFA doit accompagner l’apprenti à trouver un employeur dans un délai de 3 mois après le début du contrat. 

Quelles sont les conditions de prise en charge des frais annexes pour les temps en centre de formation (CFA ou Section d’apprentis) ?

L’OPCO (AFDAS) prend en charge une partie des frais annexes des apprentis en centre de formation (jusqu’à 12 euros par journée en 2021) : 
–    6 €/par nuitée,
–    3 €/repas (2 repas : déjeuner et PDJ)
Un forfait est fixé par l’OPCO pour les frais liés à la mobilité internationale.
Des aides spécifiques sont mis en place pour les apprentis de certains territoires ultramarins (Martinique, Guadeloupe, Guyane, Réunion).

Par ailleurs, des aides spécifiques à ces frais annexes sont parfois mises en œuvre par les Conseils Régionaux.

Comment est fixée la durée du contrat ? 

La durée du contrat est liée à la formation permettant de se préparer à la délivrance d’une certification (titre à finalité professionnelle ou diplôme d’Etat). C’est un CDD (sans indemnités de fin de contrat à prévoir) mais il peut être conclu en CDI (si c’est le souhait de l’employeur). Le CERFA peut faire office de contrat en CDD.

Durée d’un contrat d’apprentissage = durée de la formation préparant la certification (pas de double certification).

Ce contrat peut être de 6 mois à 3 ans. Il peut être allongé jusqu’à 4 ans pour les personnes reconnues en tant que travailleur handicapé et les sportifs de haut-niveau (sur liste arrêtée par le ministre chargé des sports)

C’est la date de début d’exécution du contrat ou la date de début du cycle de formation (la première des deux) qui fera débuter la prise en charge.

–    C’est la date d’exécution du début du cycle de formation lorsque l’apprenti n’a pas d’employeur lors du début du cycle de formation, alors la durée du contrat d’apprentissage est réduite du nombre de mois écoulés depuis le début du cycle (dans la limite de 3 mois). A charge pour le CFA de l’assister dans la recherche d’un employeur. La personne en recherche d’employeur détient alors le statut de stagiaire de la formation professionnelle. 

–    C’est la date de début d’exécution du contrat lorsque l’apprenti a un employeur et que le début du cycle de formation débute plus tard (dans la limite de 3 mois). Les dates du début de l’exécution du contrat d’apprentissage, de la période de formation pratique chez l’employeur et de la période de formation en CFA sont portées sur le contrat d’apprentissage.

Cela étant, la date de début de formation pratique chez l’employeur ne peut donc être postérieure de plus de trois mois au début d’exécution du contrat. Il en est de même pour la date de début de la période de formation en CFA.

Ensuite, pour ce qui est de la durée du contrat d’apprentissage, elle correspond à la durée du cycle de formation préparant à la qualification qui fait l’objet du contrat. 

La durée du contrat ou de la période d’apprentissage peut être adaptée après évaluation par le CFA du niveau initial de compétence de l’apprenti ou de ses compétences acquises. Cette durée est fixée par convention tripartite, signée par le CFA, l’employeur et l’apprenti.e.
 
•    La durée du contrat peut être réduite si l’apprenti.e :

–    achève une formation suivie pendant au moins 1 an en contrat de professionnalisation, en contrat d’apprentissage ou dans un établissement d’enseignement technologique à temps complet, 
–    a acquis des compétences lors :
o    d’une mobilité à l’étranger
o    d’une activité militaire dans la réserve opérationnelle
o    d’un service civique
o    d’un volontariat militaire
o    d’un engagement comme sapeur-pompier volontaire 
–    est déjà titulaire d’un diplôme ou d’un titre de niveau au moins égal à celui préparé dans le cadre du contrat d’apprentissage ou a suivi certains stages qualifiants. 
–    obtient la qualification préparée dans le cadre du contrat d’apprentissage avant le terme de celui-ci 
–    n’a pas d’employeur lors du début du cycle de formation, alors la durée du contrat d’apprentissage est réduite du nombre de mois écoulés depuis le début du cycle (dans la limite de 3 mois). 
–    retrouve un autre employeur après une rupture anticipée de son contrat initial, la durée de ce second contrat peut alors être inférieure à 6 mois

Est-il possible de fixer un salaire supérieur à celui préconisé dans le cadre d’un contrat d’apprentissage selon l’âge ou l’année de formation concernée ?

L’apprenti bénéficie d’une rémunération variant en fonction de son âge ; 

En outre, sa rémunération progresse chaque nouvelle année d’exécution de son contrat liée à la durée de sa formation.Les salaires correspondent à un % du Smic de 16 à 20 ans et à un % du SMC du Groupe 1 de la grille de classification et de rémunération de la CCNS à partir de 21 ans.

A partir de 26 ans jusqu’à 29 ans = 100% du SMC du G1 de la CCNS (années 1, 2, ou 3)
30 ans et plus (bénéficiaires de l’allocation aux adultes handicapés, ou personnes porteuses d’un projet de reprise ou de création d’entreprise, ou sportif de haut niveau = 100% du SMC du G1 de la CCNS (années 1,2,3,4)

Valeur plafond : À compter du 1er avril 2020, le décret sur la rémunération des apprentis prévoit que, sous réserve de dispositions contractuelles ou conventionnelles plus favorables, les majorations prévues par le code du travail ne peuvent conduire l’apprenti à percevoir un salaire supérieur à 100% du salaire minimum de croissance (C. trav., art. D.6222-31) ; à savoir pour les structures de la Branche Sport, selon les dispositions conventionnelles, 100% du SMC du G1 de la CCNS, soit 1557,39 € en 2021.

Quels sont les coûts restant employeur à partir de l’aide unique de l’État jusqu’au 31 décembre 2021 ? 

Voir le guide employeur FFHANDBALL du futur apprenti – conditions de mise en œuvre jusqu’au 31 décembre 2021. 

Dans le cadre du TFP Educateur de Handball, si le début de contrat est plus tôt que le début de la formation, quel encadrement de l’apprenti pour ses activités d’animation ?

Pour le CFA, il y a 2 documents qui lient la structure et le jeune :
•    Le contrat d’apprentissage : contrat financier qui régit le financement de la formation du jeune
•    La convention pédagogique d’alternance (ou de formation) : c’est ce qui engage le club (structure d’accueil) et l’OF (CFA/UFA) sur le plan pédagogique. Elle définit notamment un nombre d’heures à faire et un maitre d’apprentissage. La période de formation pratique chez l’employeur et la période de formation en CFA y sont également portées, tout comme sur le contrat d’apprentissage
Le contrat d’apprentissage est lié à la convention, signé avec les dates extrêmes : qui part du positionnement jusqu’à la certification (rattrapage compris). 

Avec le déclenchement de la convention, l’apprenti devient véritablement stagiaire dans une formation professionnelle. 

Mais, le stagiaire n’est qu’en phase d’observation jusqu’à la vérification des EPMSP (Exigences Préalables à la Mise en Situation Professionnelle), par le CFA, pour avoir sa carte professionnelle provisoire. 

Le stagiaire ne peut donc se retrouver tout seul dans un gymnase pour des séances. 
Le maître d’apprentissage doit être présent.
Tant qu’il n’a pas les EPMSP, il n’est pas en AUTONOMIE Quelles conditions de travail s’appliquent au contrat d’apprentissage ?
 
L’alternant est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle (du sport) et celle de l’entreprise lui sont applicables dans les mêmes conditions qu’aux autres salariés. 

Il n’y a pas de période d’essai pour un contrat d’apprentissage mais une période probatoire. Chaque partie peut mettre fin au contrat sans motif jusqu’à l’échéance des 45 premiers jours, consécutifs ou non, de formation pratique en entreprise effectuée par l’apprenti.

Le temps de travail est identique à celui des autres salariés (35 heures) avec un droit aux congés payés (5 semaines par an) ainsi que 5 jours ouvrables à prendre dans le mois qui précède les épreuves (examens). L’employeur doit permettre à l’alternant de suivre les cours théoriques professionnels. Ce temps de formation en CFA est compris dans le temps de travail effectif (au moins 25% du temps de travail).

Un apprenti est obligatoirement suivi par un maître d’apprentissage identifié dans le contrat avec des missions et un temps dédié au sein de la structure. 

Il a des prérequis.

Une formation de 7 à 21 heures est obligatoire pour bénéficier de l’aide à la fonction de 115 euros par mois pendant 12 mois.

Un groupement d’employeurs peut-il employer des apprentis ? 

Le GE peut recruter des apprentis pour les employer lui-même au niveau du groupement. Il peut également employer des apprentis pour les mettre à disposition des entreprises adhérentes. L’apprenti peut être mis à disposition de deux entreprises adhérentes au plus. 

Un maître d’apprentissage ne peut avoir la charge de plus de deux apprentis, cette limite de deux apprentis par maître d’apprentissage est appréciée au niveau du groupement d’employeurs ou le cas échéant au niveau de l’entreprise adhérente. 

Références : articles L.6223-5 et R.6223-10 du code du travail
 

Où puis-je suivre le TFP éducateur ou entraîneur de Handball par apprentissage ? 

Voir les sessions TFP Educateur et Entraîneur de Handball 2021/22 

https://ffhandball-formation.sporteef.com

Pour plus d’informations 

WEBINAIRE – L’HONORABILITÉ DES ENCADRANT.E.S

Les salarié.e.s des clubs entrent-ils dans la section « encadrant.e autres » ? 

Dès lors que les salariés des clubs sont en contact direct avec des mineur.e.s ils sont considérés comme encadrant et par conséquent soumis à l’attestation d’honorabilité. Il en va de même pour les bénévoles tels qu’une personne qui assure des fonctions ponctuelles à la table de marque. 

Quand les licences « accompagnant.e.s » seront-elles disponibles pour des parents ?

À date, l’offre de licences ne prévoit pas cette catégorie de licence. Pour autant, il est possible de prendre une licence dirigeant.e dans ce genre de cas.

Comment sont différenciés sur Gest’Hand attestation et contrôle ?

L’attestation d’honorabilité doit être fournie par tous les licenciés majeurs « encadrant.e » alors que le contrôle d’honorabilité est limité aux dirigeants d’associations sportives, aux exploitants EAPS et aux éducateurs sportifs.

Qu’en est-il des actions de formation auprès des dirigeant.e.s et éducateur.ice.s ? Existe-t-il une « commission de travail » à la fédération sur le sujet ? 

Le plan de prévention contre toutes les violences, est construit en 5 axes, dont 1 axe autour de la formation. En effet, un certificat « développer le vivre ensemble et la citoyenneté » a été construit et est en cours de déploiement sur les territoires. Les instituts territoriaux de formation devraient être en mesure de proposer ce certificat prochainement. Renseignez vous auprès de votre ligue.

L’attestation ne concerne pas que l’encadrement de meineur.e.s, mais tout encadrement ?

L’attestation d’honorabilité doit effectivement être fournie par tous les licenciés majeurs « encadrant.e » même s’ils n’encadrent pas de mineur.e.s (hormis pour les bénévoles et salarié.e.s de clubs qui n’ont pas de fonctions d’encadrement à proprement parler mais qui doivent la fournir dans l’hypothèse où ils.elles seraient en contact direct avec des mineur.e.s)

Qui doit remplir l’attestation d’honorabilité ?

Les personnes concernées par l’attestation d’honorabilité sont : les encadrant.e.s sportifs rémunéré.e.s ou bénévoles, les dirigeant.e.s des associations sportives, les encadrant.e.s médicaux, les arbitres, les candidats à une formation diplômante-certifiante dispensée sous l’égide de la Fédération, d’une ligue ou d’un comité, les bénévoles ou salarié.e.s licencié.e.s, autres que les éducateur.ice.s sportifs, en contact direct avec des mineur.e.s.

S’agissant du parent qui assure les fonctions de la table de marque, il convient d’être pragmatique: s’il intervient sur des compétitions de jeunes, il est en effet susceptible d’être en contact direct avec des mineur.e.s et par conséquent soumis à l’attestation d’honorabilité

Le club peut il lui même rajouter la fiche d’honorabilité de l’un de ses licencié.e.s sur sa licence ou cela doit il être fait par le.la licencié.e ? 

Il est nécessaire que ce soit le.la licencié.e qui ajoute l’attestation d’honorabilité dans Gest’hand car il s’agit d’une attestation sur l’honneur qui engage sa responsabilité en cas de fausse déclaration. Pour autant. l’attestation est disponible sur le site Internet fédéral, de sorte que le club peut aussi la télécharger pour la fournir au – à la licencié.e en format papier.

Pourquoi les attestations d’honorabilité validées ne s’intègrent-elles pas automatiquement dans l’onglet encadrant.e.s sur GestHand ?

L’outil informatique ne permet pas cette automatisation à date. De plus, le fait que la structure complète elle-même l’onglet encadrant.e, lui permet d’identifier les licencié.e.s relevant de ce dispositif

Est-il possible d’avoir une extraction des attestations qui ont été mises en attente ?

Nous travaillons sur ces améliorations. 

Est-il possible qu’un mail soit envoyé au club et au licencié lorsque l’attestation n’a pas été validée ?

Nous travaillons sur ces améliorations.